édito #2

Strabic

Saison spéciale "Summer Camp" :
Après l’usager au pouvoir, la parole aux étudiants !

- Il n’y a plus de saison...
- Eh bien si, ma bonne dame !

Chez Strabic, ça continue. Pire, ça ne fait que commencer. Évidemment, on l’aura compris, la saison sera particulière. Au beau milieu de l’été, il va pleuvoir et repleuvoir encore. Ça ne va pas s’arrêter. Des grenouilles, du sable rouge et même des travaux de jeunes diplômés en arts appliqués ! Et c’est nous qui allons les inviter, ces jeunes. Un peu de sang neuf, ça ne fera de mal à personne. Et puis, ça fera estival, voire festival. La météo aura beau se déchaîner, on le fera malgré tout, ce camp d’été.

Et dans la bonne humeur !

Presque tous les jours de la semaine et cela pendant un mois entier, ça va vous tomber dru droit dessus et ça ne va pas pardonner : de l’objet, des espaces, du graphisme, de l’art, du textile ou du paysagisme. En veux-tu en voilà à tour de bras. Faudra pas s’en plaindre.

On vous aura prévenu.

De toute façon, on n’est pas en sucre chez Strabic ! On aura vérifié à l’avance l’état des tentes et on y aura fiché une bonne grosse patate pour éviter la foudre (des commentaires ?). On va bien s’amuser, je vous assure. Car on aime bien les jeunes, nous.

Promis !

On n’abîmera pas trop le pré à pépé, et puis, quand on fera des grillades, on essayera de ne pas mettre le feu à la forêt d’à côté. On organisera d’interminables veillées en reprenant en cœur et à tue-tête le “Chant du Styrène” de Queneau. Mais bon, mémé, autant te prévenir tout de suite : après quelques jours, ça va sûrement flirter sévère. Graphiste et designer vont bien finir par s’amouracher dans les herbes hautes. À moins que ça se passe entre typographe et paysagiste...

Et alors ? C’est bien de leur âge, et puis, on n’est pas contre ce genre de métissages, chez Strabic, bien au contraire...

Bon Summer Camp et bel été !

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