Pour celles et ceux qui n’auraient pas pu se rendre au Festival de Chaumont cette année, par manque de temps ou parce que la SNCF joua à sa manière son rôle de partenaire (en organisant des travaux exactement au moment des temps forts de l’événement), Strabic propose ce petit portfolio. On notera la présence, parmi les exposants, de graphistes bien connus de nos lecteurs.
Dans l’écrin sacré de la chapelle, le Moving Picture Show de Jürg Lehni détourne une machine habituellement utilisée par l’industrie cinématographique pour graver des sous-titres à l’aide d’un laser et propose diverses projections graphiques et typographiques.
Sur la place de l’Hôtel de Ville, notre graphiste Charles Beauté s’essayant à quelques travaux de découpage et Nicolas Filloque de l’Atelier Formes Vives dans l’exercice de sérigraphie proposé par le jeune collectif 923a.
À la Banque de France, "Sorties d’usine", une exposition d’affiches sur la prévention des risques sur les lieux de travail.
Le "Jardin d’expériences graphiques", hallucinant atelier de gravure improvisé à la Fabrique par le studio hollandais Letter Proef Tuin.
Dans la Sélection Internationale, deux affiches du Ikea Press Project monté par l’Italien Lorenzo Bravi ou comment transformer la quincaillerie du géant suédois en plombs typographiques.
Petit aperçu de l’exposition White Noize réalisée par Sophie Demay et Étienne Hervy, tissant des liens entre graphisme et musique aux Subsistances. Bientôt au Centre Pompidou.
Parmi les huit "Iron Cubes" disséminés dans la ville et présentant les diplômes d’étudiants internationaux, le conteneur de la typographe Sophie Cure.
Au Buffet de la Gare, l’espace dédié aux restitutions des workshops étudiants.
